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    La fente orofaciale est l'une des anomalies congénitales les plus courantes. Elle a un impact négatif sur la vie d'un individu et entraîne une diminution de la qualité de vie. L'étiologie comprend l'interaction de facteurs environnementaux et génétiques. Il convient de promouvoir les connaissances sur les fentes orofaciales afin de sensibiliser les gens aux mesures préventives à prendre. Ce livre "Les fentes orofaciales" explique la pathogénie des fentes, les différents types de fentes orofaciales, leur anatomie et leur prise en charge.
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    La carie dentaire est l'une des maladies évitables les plus courantes, reconnue comme la première cause de douleur buccale et de perte de dents. Il s'agit d'une maladie bucco-dentaire majeure de santé publique qui entrave la réalisation et le maintien de la santé bucco-dentaire dans tous les groupes d'âge. L'OMS affirme qu'une mauvaise santé bucco-dentaire peut avoir un effet profond sur la santé générale ainsi que sur la qualité de vie, et que plusieurs maladies bucco-dentaires sont liées à des maladies chroniques. La carie dentaire est la destruction localisée des tissus durs dentaires sensibles par des sous-produits acides issus de la fermentation bactérienne des glucides alimentaires.
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    L'augmentation du transfert de chaleur par différents moyens est undomaine de recherche intense depuis de nombreuses années. L'augmentation récente de l'utilisation d'échangeurs de chaleurL'augmentation récente de l'utilisation des échangeurs de chaleur pour des applications industrielles a demandé une amélioration de leur conception,leur efficacité et leur compacité. En général, la résistance thermique offerte par les gaz, donc la performance des échangeurs de chaleur avec des gaz commefluides detravaildevient pratiquement importante.L'une des techniques les plus courantes pourcompenser les mauvaises propriétés de transfert de chaleur des gaz consiste àaugmenterla densité de la surface deséchangeurs de chaleur à plaques en utilisant des ailettes secondaires telles que des ailettes décalées,triangulaires, ondulées, à lamelles, etc.En outre,une technique prometteuse pouraméliorer le transfert de chaleur est l'utilisation de générateurs de tourbillons longitudinaux.Lestourbillonslongitudinauxsont produits en raison de la différence de pression générée entre l'avant et l'arrièredu générateur de tourbillons.Lestourbillons longitudinaux facilitent l'échange du fluide près desparois avec le fluide dans le noyau et, par conséquent, la couche limite thermique est perturbée. Celaprovoque une augmentation du gradient de température à la surface, ce qui entraîne uneaugmentation dutransfert de chaleur.
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    Ne gaspillez plus votre temps et votre argent en essayant d'apprendre l'anglais à la dure. Nous vous proposons des milliers de phrases et d'expressions traduites en français. Les phrases sont tirées du langage quotidien et peuvent être utilisées immédiatement. Ce livre contient plus de 5000 phrases, il n'est pas destiné à enseigner la grammaire, mais à être le compagnon idéal de tout cours que vous utilisez actuellement. Son but est de vous enseigner des phrases anglaises (et pas seulement des mots individuels) qui peuvent être utilisées dans de nombreuses situations.Plus jamais vous ne vous sentirez incapable de vous exprimer, incompris ou obligé d'utiliser la même phrase encore et encore dans des contextes différents ?Si vous voulez améliorer rapidement vos compétences en anglais, il est vraiment important d'apprendre les expressions courantes que les anglophones natifs utilisent souvent.Ce premier livre est destiné aux débutants, niveau A1 exactement. Si vous trouvez que la difficulté est trop facile pour vous. Veuillez nous contacter par mail pour commander les autres niveaux avant même qu'ils ne soient publiés.Bonne lecture.
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    Qui a bien pu tuer Bouboule ? Quand une vieille dame vient au commissariat pour annoncer que Bouboule a disparu, tout le monde se marre sauf moi car je sais ce que peut représenter la compagnie d'un chien pour une dame esseulée. Mais quand cette dame vous précise que le Bouboule en question n'est pas son chien mais son fils unique, ça devient tout de suite plus sérieux. Comme le gaillard, qui approche tout de même de la cinquantaine, tient un garage à Saint-Brieuc, tout le monde pense que ce sacré Bouboule est parti en vacances et que c'est bien son droit. Mais la vieille dame ne croit pas à cette histoire de congés. D'ordinaire, son fils lui téléphone tous les jours. Sa ténacité finit par m'intriguer, et je me résous à rendre visite à Bouboule dans son garage pour lui demander de rassurer sa bonne vieille maman. Mais Bouboule ne me dira rien, car Bouboule est mort ! Et pas de mort naturelle, je vous prie de le croire ! Retrouvez Mary Lester, accompagnée d'une vieille dame tenace, dans une nouvelle enquête à suspense. Un polar breton à la fois sombre et teinté d'humour ! EXTRAIT Le commissaire divisionnaire Fabien n'était pas encore revenu de convalescence et le commissaire Mervent, qui avait assuré son intérim, n'était pas encore parti vers sa nouvelle affectation. Enfin, il n'était plus non plus tout à fait des nôtres, car, depuis qu'il avait appris sa promotion place Beauvau en tant que conseiller du ministre de l'Intérieur, si son corps passait de temps en temps sans voir personne au commissariat, son esprit était déjà dans la capitale. Il s'était sans regret déchargé de la conduite des affaires courantes sur le commandant Ségalen, le plus ancien des officiers de police en poste au commissariat, ce qui nous arrangeait bien car Ségalen était un type sympathique et qui ne la ramenait pas. Au physique c'était un grand chauve aux yeux bleus, peu causant, mais c'était un homme de terrain qui connaissait son affaire et menait la boutique avec doigté et efficacité. CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE [...] un roman policier des plus agréables. - Tana77, Babelio J'aime beaucoup cette histoire car elle est vraiment très approfondie et les personnages sont assez multiples. - LunaZione, Babelio Habile, têtue, fine mouche, irrévérencieuse, animée d'un profond sens de la justice, d'un égal mépris des intrigues politiciennes, ce personnage attachant permet aussi une belle immersion, enquête après enquête, dans divers recoins de notre chère Bretagne. - Charbyde2, Babelio À PROPOS DE L'AUTEUR Cet ancien mareyeur breton devenu auteur de romans policiers a connu un parcours atypique ! Passionné de littérature, c'est à 20 ans qu'il donne naissance à ses premiers écrits, alors qu'il occupe un poste de poissonnier à Quimper. En 30 ans d'exercice des métiers de la Mer, il va nous livrer pièces de théâtre, romans historiques, nouvelles, puis une collection de romans d'aventures pour la jeunesse, et une série de romans policiers, Mary Lester. À travers Les Enquêtes de Mary Lester, aujourd'hui au nombre de quarante-sept, Jean Failler montre son attachement à la Bretagne, et nous donne l'occasion de découvrir non seulement les divers paysages et villes du pays, mais aussi ses réalités économiques. La plupart du temps basées sur des faits réels, ces fictions se confrontent au contexte social et culturel actuel. Pas de folklore ni de violence dans ces livres destinés à tous publics, loin des clichés touristiques, mais des enquêtes dans un vrai style policier.
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    PARTITA No. 2 in C minor, BWV 826 JOHANN SEBASTIAN BACH (1685-1770) Bach's six Partitas date from the ripe period following his move to Leipzig (1723). His first published instrumental works, they appeared individually in the years 1726-31 (the present C minor Partita in 1727) and were assembled as his 'Opus One' in 1731, collectively titled Clavierübung (keyboard Practice or Exercise). According to Bach's first biographer, Johann Nicolaus Forkel, the partitas made 'a great noise in the musical world. Such excellent compositions for the clavier had never been heard before. Anyone who had learnt to perform well some pieces out of them could make his fortune in the world thereby,... they are so brilliant, well sounding, expressive, and always new.' Forkel was correct in his appraisal, and these creations do indeed unfailingly renew themselves. They are effectively playable on piano, harpsichord and clavichord, and lend themselves to a multitude of interpretations. The Partitas (known also as German Suites, as Bach announced, consisted of 'Preludes, Allemandes, Courantes, Sarabandes, Gigues, Minuets, and other Galanteries.' The Partita in C minor opens with a Sinfonia rather than a Preludium which is in effect a three-stage Italian Ouverture beginning with a clarion call to order. The proscribed Allemande, Courante and Sarabande are filled out with a Rondeau (replacing the Menuet} and a vigorous, driving Capriccio in lieu of the concluding Giga. VARIATIONS in F minor, Hob. XVII : 6 SONATA No. 53 in E minor Hob. XVI : 34 JOSEPH HAYDN (1732-1809) The F minor Variations (sometimes commonly known as 'Andante con Variazioni') were composed in 1793, and exemplify the mastery and tremendous emotional breadth of some other late Haydn symphonies. As a matter of fact, one can draw a striking analogy between the Tema of this masterpiece and one of the so-called 'Drumroll' Symphony's second movement: Both of these are double themes consisting of a first part minore, it's sequel in answering maggiore. Of course each variant becomes increasingly more embellished until the coda where a climax of astonishing intensity and subdued drama is joltingly introduced. When young Beethoven was sent to Vienna with a stipend from Count von Waldstein so that the burgeoning composer could study with Haydn and 'regain the soul of Mozart' (who had just died), I daresay that Beethoven did indeed inherit much from Mozart, but Haydn probably had the biggest influence on his young charge. These sublime Theme and Variations offer evidence for this writer's assertion. The Sonata in E minor was first published in July 1773 by Beardmore & Birchall of London but almost certainly, Haydn had composed it considerably earlier. In any event, this E minor Sonata is one of the finest and most popular of the master's 'middle period.' It's first movement, Presto's engaging, disjunctive style is for me reminiscent of C.P.E. Bach innovative mood. One noteworthy feature is the way the music keeps breaking up into small paragraphs and then resuming it's forward course. Such drama and imagination! In contrast, the Adagio slow movement sings with a long, ruminative line. As the movement reaches it's apex, the pulse begins to quicken and, almost without resolution we find ourselves face to face with a sprightly Finale, Vivace molto innocentemente. This linking of these two movements is very much a harbinger of the familiar device used by Beethoven in so many of his mature compositions (e.g. The Fourth and Fifth Piano Concertos, the Violin and Triple Concertos, the Waldstein, Appassionata and Lebewohl Sonatas and the Serioso String quartet). DREI KLAVIERSTÜCKE, Op. 117 JOHANNES B HMS (1833-1897) During the Summer of 1890, Brahms completed his String Quintet in G major, Op. 111 and, in September, sent the manuscript to Fritz Simrock, his publisher. Simrock had hoped Brahms would oblige with a Fifth Symphony and indeed, the composer had begun work on such a score. But, alas, along with the Quintet's manuscript, came a note: ' The time has come for you to say goodbye to any further compositions of mine.' A new symphony was out of the question and Brahms facetiously added further that he had thrown his leftover manuscript paper in the river at the end of his vacation at Bad Ischl. Incentive was restored by a visit to Meiningen in March 1891. The rejuvenating catalyst was an evidently superb musician named Richard Mühfeld and posterity owes to him a substantial debt for causing Brahms' change of heart. Having come forth with two works inspired by Mühlfeld, the Trio for Clarinet, Cello and Piano, Op. 114 and the Quintet for Clarinet and Strings Op. 115, and with his creative juices restored, the 'retired' master, as an extra bounty, penned a superb collection of short piano pieces, Op. 116-119, his two sonatas Op. 120, the Ernste Gesang, Op. 121 and the Chorale Preludes for Organ, Op. 122. The three Intermezzi Op. 117 were published in 1892, the same year as Op. 116. No. 1 in E Flat, an Andante in 6/8 metre with a second section, piu adagio--un poco andante, is a German version of a Scottish cradle song 'Lady Anne Rothwell's Lament' and Brahms follows it so closely that in one section the words can actually be fitted to his melody. The second Intermezzo in B flat minor is likewise, another song without words. It's mood of bittersweet nostalgia is very much akin to the poco Allegretto third movement of the Third Symphony, Op. 90 (Brahms tempo indication for Op.117/2 is Andante non troppo--piu adagio). The triptych is completed by the Intermezzo in C sharp minor (Andante con motto--poco piu lento moto ed espressivo, again inspired by an old ballad. SONATINA (1957) Edino Krieger (1928) Edino Krieger was born in Brusque, Santa Catarina on March 17, 1928. He studied music with his father, a conductor, composer, and founder of the local Conservatory, and later studied the violin with Edith Reis (1943) and composition with Hans-Joachim Koellreutter (1944-48) at the Rio de Janeiro Conservatory, and subsequently had lessons with Aaron Copland at the Berkshire Music Center in Tanglewood and with Peter Mennin (1948-49) at the Juilliard School. His early works were in late Romantic and Impressionist style, but after a brief dodecaphonic period (1947-53), he turned toward neo-Classicism with nationalistic allusions, and fused the latter two styles from 1966. The composer has given his own text for the Sonatina here recorded: 'Composed in 1957, the piano Sonatina belongs to Krieger's neoclassical period. In 1952 the composer abandoned avant-garde experiments in order to heighten his command of traditional forms, with classical and pre-classical styles within a free tonal-modal idiom and incorporating Brazilian thematic elements. The neoclassical phase includes teaching pieces, designed for developing young instrumentalists. Among these works are the Suite for Strings, the Prelude and Fugue and the Sonatina for piano. The Sonatina is in two movements. The first, marked Moderato, begins with a binary Alberti bass, below a ternary melodic line with a cantabile, lyric character. The contrasting marcato second theme appears in the left hand and both themes are worked in a long and dynamic development. The brief recapitulation brings the return of the initial lyric material. The second, Allegro, has a moto perpetuo character and is built upon a wild, undulating melodic figure in the low register. Above this appears an affirmative theme of episodic character, though the initial undulating material predominates throughout.' Music Notes by Harris Goldsmith.
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